L'éducation nationale...

 

 

Le 1 Juin 2014 à 13:03

 

Comme tu le dis mon Amour, quand on a dit ça, on a déjà tout dit.

 

Ras-le-bol de toutes ces réformes toutes plus pourries les unes que les autres ! Ras-le-bol de la formation qui ne forme à rien ! Ras-le-bol de ces programmes qui ne contiennent plus grand chose et qu'il faut pourtant boucler ! Ras-le-bol du bénévolat pour une organisation qui ne nous reconnaît même pas à notre juste valeur ! Ras-le-bol de toutes ces lois qu'on nous impose !

 

Masterisation (pfff tu parles d'un néologisme !)... Cela fait des années que ça change chaque année. Rien de stable, rien de satisfaisant. Au moins, au lieu d'être payé, on paye. Oui oui oui. Un master où l'on apprend à penser comme le ministère de l'éducation nationale, où l'on ne peut pas soulever les failles du système. J'ai bien essayé, je me suis brûlé les ailes. Il faut rédiger un mémoire de recherche, dans le but d'améliorer notre pratique professionnelle, mais surtout que ça respecte la bien-pensance.

 

Concours... Là... Là... Bref les mots me manquent. N'en parlons pas.

 

La paye des instit's... Ce serait comique, si ça n'était pas vrai. On est payé pour un certain nombre d'heures de travail, mais si on a un minimum de conscience professionnelle, on en fait bien plus des heures... Beaucoup plus que ce qui est demandé, et surtout que ce qui est payé. Quand à parler d'une reconnaissance... Niet.

 

De toute façon c'est bien connu, les enseignants sont payé à ne rien faire, ils font ce boulot juste pour les vacances, et en maternelle ils jouent toute la journée. Voilà voilà.

Oh, on pourrait encore en dire beaucoup sur l'éducation nationale et sur la façon dont ce ministère traite ses enseignants et surtout ses futurs enseignants, mais bon, ça ne ferait qu'exciter ma rage, et ce n'est pas du tout le but recherché. Master, mémoire, concours, M2 par alternance : des mots-clés pour m'échauffer la bile.