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Il est également possible de laisser une trace de votre passage dans mon carnet en me laissant un

Ma façon de publier mes articles...

 

 

Le 26 Mai 2014 à 19:57

 

Dans mon adresse à de potentiels lecteurs, je parle d'un chantier à propos de mon carnet. Et pour cause. Ce carnet évolue sans cesse. Je vais, je viens, je tourne en rond, je publie, je supprime, je publie de nouveau. C'est le constat que je peux faire aujourd'hui. Pourquoi laisser voir des titres sans articles ? Ou des titres suivis seulement de mots-clés ? Bref pourquoi laisser apparaître de multiples articles alors qu'ils ne sont qu'à l'état d'esquisse ?

 

Tout simplement parce que j'ai parfois des idées de réflexions à mener, mais pas le temps de les mener tout de suite. Alors, pour ne pas les oublier je les note directement ici. Et je viendrai les développer petit à petit, peut-être en une seule fois, peut-être en plusieurs.

Mais il me semble important de laisser la construction apparente, car c'est l'image même de ce qui se passe dans mon esprit. D'aucuns ne publieront que des articles achevés, dans une langue littéraire de haut niveau. Tel n'est pas mon but ici, du moins pas pour le moment.

 

Ici, je suis venu écrire le fil de ma pensée, l'écrire tel qu'il se profile, tel qu'il m'apparaît et non pas tel que je voudrais le voir apparaître.

 

Pour finir, je me dis que ce carnet présente ma pensée, non l'expression de ma pensée. Un raisonnement, non une conclusion.

 

 

 

Les points de suspension...

 

 

Le 26 Mai 2014 à 20:08

 

J'aime beaucoup les points de suspension. A l'écrit s'entend. Ils permettent d'exprimer tout un tas de choses. Le doute, l'intensité d'une parole, la tristesse, un air désabusé, le suspens, la non-exhaustivité d'une liste, l'inachèvement, bref, tout un tas de choses, quoi. J'aime bien dire quoi, aussi, mais là n'est pas le sujet. Ici, j'en mets partout. Des points de suspension dans mes titres, dans mes phrases, dans mes listes, un peu partout, quoi. Pourquoi ? Peut-être pour traduire une réflexion en cours, justement ; un raisonnement inachevé. L'impression de se trouver face à l'abîme au moment d'aborder un sujet, de poser une question. Ou plutôt face à l'immensité, à l'infini même, de l'Univers. Un sujet, une question, et tant de pistes de réflexion possibles... Ça laisse rêveur... Un peu penseur aussi.

 

En les voyant ici, ces points de suspensions, je me dis que ça enlève aussi la sècheresse du point tout seul.

Points de suspension
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